Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

EN CAS D’URGENCE

418 338-8591, poste 777#

En cas d'urgence

Important : Si vous travaillez ou étudiez au Cégep de Thetford ou au Centre d’études collégiales de Lotbinière, veuillez prendre connaissance et relire le contenu de cette section, minimalement à chaque début de session.

Si vous êtes témoin d’une situation d’urgence et que vous avez besoin des services d’urgence externes, composez immédiatement le 911.

Afin de rejoindre l’équipe du Cégep pour assistance complémentaire ou signaler un événement, composez 418 338-8591, poste 777#. Si vous téléphonez d’un poste fixe à partir du Cégep, faites le 777#. Ce numéro est valide en tout temps pour le site du Cégep (bâtiments, résidences et terrains) et pour le Centre d’études collégiales de Lotbinière.

Vous serez mis en communication avec le bon intervenant et le délai prendra environ 30 secondes. Ne raccrochez pas.

Pendant ce temps, rassemblez les informations importantes afin de les donner à la personne ressource :

  • Lieu où l’événement est survenu (Thetford ou St-Agapit)?
  • Nature de l’événement et l’heure où il est survenu?
  • Personne contact sur place?
  • Des blessés?
  • Danger pour les personnes sur place?
  • Quelles sont les mesures déjà prises ou en cours de mise en œuvre?
  • Services de sécurité déjà sur place ou non, déjà contactés?
  • Etc.

Pour toute situation d’urgence, le coordonnateur des mesures d’urgence et son équipe assureront la prise en charge des étapes nécessaires puis feront le lien avec les services et ressources nécessaires, le cas échéant.

Le coordonnateur des mesures d’urgence est M. Yan Bergeron, coordonnateur des ressources matérielles et le remplaçant M. Guy Provencher, Contremaître d’entretien spécialisé.

Voici des exemples de situations qui pourraient nécessiter un appel à la ligne d’urgence

  • Personne blessée, inconsciente ou ayant un malaise;
  • Risque de sécurité immédiat relié à du harcèlement sexuel, une agression sexuelle, un deuil, une détresse psychologique, de la confusion, une situation de psychose, des capacités affaiblies, de l’anxiété, des idées suicidaires, une situation de crise, etc. À noter que le personnel du FARE (455) ou de URGENCE DÉTRESSE 1 866-APPELLE (277-3553) prendra ensuite charge de la situation tout dépendant du cas;
  • Personne suspecte (attitude louche, rôdeur, témoin d’un vol, vandalisme, etc.);
  • Personne violente (pour les autres ou elle-même);
  • Fuite d’eau ou bris majeur;

Principales étapes à suivre

Voici maintenant les principales étapes à suivre (par tous les occupants, étudiants, employés, etc.) si vous rencontrez une de ces situations. Ces étapes devraient être lues et révisées à chaque début de session, afin que chacun les maîtrise en cas de besoin urgent.

Ce plan d’intervention sommaire doit être mis en œuvre lorsque survient :

  • Un incident extérieur qui implique l’émission d’un gaz ou d’une fumée toxique dans l’air;
  • Un incident où la notion de « temps d’évacuation » est inexistante;
  • Un incident où l’évacuation de certains secteurs pourrait entrainer des effets plus néfastes sur la santé des occupants que le confinement à l’intérieur.


Note : 

Cette directive ne vise pas à remplacer l’évacuation; elle doit plutôt être perçue comme une alternative. Lorsqu’un contaminant atmosphérique est présent dans l’environnement, il est plus sécuritaire de demeurer à l’intérieur de l’établissement, que de s’exposer directement au contaminant à l’extérieur.

Toute personne qui remarque une source de contamination dans l’environnement, qui atteint, ou qui est susceptible d’atteindre l’établissement, doit immédiatement composer le 777# et transmettre les informations suivantes :

  • Son nom;
  • L’endroit d’où provient l’appel;
  • Une description de l’observation;
  • La nature et la couleur du nuage;
  • La direction du vent et les symptômes d’intoxication.

Lors d’une mise en confinement, tous les occupants doivent cesser leurs activités. En plus, ils doivent :

  • Fermer les portes donnant accès à l’extérieur dans le secteur immédiat, s’il y a lieu;
  • Fermer les fenêtres de toutes les pièces;
  • Fermer les portes des locaux adjacents;
  • Attendre les consignes des membres de l’équipe d’intervention d’urgence;
  • Demeurer attentifs aux signes cliniques d’une intoxication aiguëe, si possible;
  • Aviser le coordonnateur des mesures d’urgence de toute situation particulière (présent à l’entrée principale);
  • Transmettre au coordonnateur des mesures d’urgence l’état de santé des personnes sous leur responsabilité (irritation, maux de tête, nausées, etc.).

Ce plan d’intervention sommaire doit être mis en œuvre lorsque survient une fuite de gaz afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.

Toute personne qui perçoit une odeur ou qui détecte une fuite de gaz naturel/propane/autre doit immédiatement :

  • Quitter la zone à risque et éloigner les personnes situées à proximité;
  • Signaler l’incident en composant le 777#.


Fuite de gaz à l’intérieur

Lorsqu’une fuite de gaz naturel/propane/autre se produit à l’intérieur, les occupants doivent immédiatement procéder à une évacuation selon les modalités du plan d’évacuation. À cet effet, suivre les consignes dictées sur place par l’équipe d’urgence, et ce, tout en respectant l’ordre suivant :

  • Évacuer la zone à risque;
  • Évacuer l’étage touché;
  • Évacuer l’étage au-dessus.


Fuite de gaz à l’extérieur

Si la fuite de gaz se produit à l’extérieur :

  • Évacuer la zone à risque et respecter le périmètre de sécurité établi;
  • Ne pas prendre possession des véhicules personnels situés à proximité de la fuite;
  • Fermer les fenêtres du bâtiment;
  • Attendre les consignes de l’équipe d’urgence. 

Les principes inhérents à l’incendie guideront les paramètres de l’intervention. L’évaluation de la menace relève du coordonnateur des mesures d’urgence, en collaboration avec l’officier responsable du Service de sécurité incendie. Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées pour limiter les effets de la fuite. Selon les conséquences anticipées ou réelles, il pourrait s’agir de fermer la soupape maîtresse du réseau de distribution, d’envisager une fermeture sectorielle du réseau ou d’interrompre l’alimentation électrique d’un secteur pour prévenir une explosion.

Notes importantes :  

Ne manipulez aucun objet susceptible de produire une étincelle ou une flamme (briquet, téléphone situé près de la fuite, interrupteur ou appareil électrique, lampe de poche, etc.).

N’actionnez aucune station manuelle reliée au système d’alarme incendie, car l’étincelle produite par l’entrée en fonction de celle-ci peut être suffisante pour enflammer le gaz.

Ce plan d’intervention sommaire doit être mis en œuvre lors d’un incendie afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.

Par ailleurs, il importe de mentionner que ce plan ne vise aucunement à remplacer les plans d’intervention normalisés du Service de sécurité incendie. Il doit plutôt être perçu comme complémentaire à ces derniers.

Lorsqu’une personne constate un début d’incendie ou remarque une fumée apparente, elle doit respecter les étapes suivantes afin de minimiser les impacts sur la personne et d’atténuer les effets de la fumée et des flammes :

  1. Alerter: Donner l’alarme soit en tirant une station manuelle d’incendie ou en composant le 777#;
  2. Sauver: Évacuer les personnes situées à proximité du foyer d’incendie;
  3. Fermer : Compartimenter le secteur touché par l’incendie en fermant les portes et les fenêtres;
  4. Éteindre : Éteindre le foyer de l’incendie avec un extincteur portatif, si possible et sécuritaire*.

En attendant du renfort, l’application intégrale de ces actions assure un minimum de sécurité aux occupants situés à proximité de l’incendie.

*         L’extincteur portatif est exclusivement utilisé pour éteindre un début d’incendie, c’est-à-dire un incendie dont la hauteur des flammes ne dépasse pas un (1) mètre.

Les enseignants doivent :

  • Indiquer aux étudiants l’ordre d’évacuation et l’issue la plus proche;
  • Indiquer la localisation des points de rassemblement;
  • Fouiller visuellement la salle de cours avant de quitter les lieux;
  • Fermer toutes les portes avant de quitter la pièce;
  • Interdire aux étudiants de prendre leurs effets personnels encombrants;
  • Évacuer par la sortie d’urgence la plus proche;
  • S’assurer que toute personne qui nécessite une attention particulière en raison de son état de santé ou de sa mobilité réduite obtienne de l’aide (informer le coordonnateur des mesures d’urgence qui sera positionné à l’entrée principale le cas échéant);
  • Demeurer regroupés au lieu de rassemblement sans quitter les lieux;
  • Réintégrer le bâtiment seulement après avoir reçu l’autorisation du coordonnateur des mesures d’urgence (CMU), qui lui aura eu l’autorisation préalable des pompiers.


Tous les autres employés (non enseignants) et les étudiants doivent :

  • Éviter d’apporter leurs effets personnels encombrants;
  • Arrêter toute activité dans le secteur;
  • Évacuer immédiatement par la sortie d’urgence la plus proche;
  • Prendre charge des personnes handicapées si requis (informer le coordonnateur des mesures d’urgence qui sera positionné à l’entrée principale au besoin);
  • Demeurer regroupés au lieu de rassemblement sans quitter les lieux;
  • Réintégrer le bâtiment seulement après avoir reçu l’autorisation du coordonnateur des mesures d’urgence (CMU), qui lui aura eu l’autorisation préalable des pompiers.

L’évaluation des conséquences d’un foyer d’incendie relève du coordonnateur des mesures d’urgence, en collaboration avec l’officier responsable du Service de sécurité incendie. Cela consiste essentiellement à mesurer le risque en fonction de critères objectifs tels que :

  • La localisation du foyer d’incendie et l’effet sur les secteurs avoisinants;
  • Le niveau d’occupation dans la zone touchée;
  • La vitesse de propagation;
  • La nature du combustible impliqué;
  • La charge calorifique de l’incendie;
  • La présence de produits accélérants ou dangereux;
  • L’équipement en cause;
  • L’ampleur et l’impact de la fumée sur les secteurs avoisinants.

Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées pour limiter les impacts de l’incendie.

Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors de la perte de confinement d’une matière dangereuse afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.

Ce plan vise directement à préserver la santé et la sécurité des intervenants, tout en assurant la mise en place rapide de mesures efficaces pour contrôler la fuite ou l’écoulement d’une matière considérée comme dangereuse, et ce, afin d’éviter que la situation dégénère.

Par ailleurs, il importe de mentionner que ce plan ne vise aucunement à remplacer le plan d’intervention normalisé du Service de sécurité incendie; il doit plutôt être perçu comme complémentaire à ce dernier.

Les plans d’intervention relatifs à l’incendie et l’évacuation devront possiblement être mis en œuvre lors d’une perte de confinement.

Toute personne qui constate un déversement de produit dangereux doit immédiatement :

  1. Déplacer ou évacuer les personnes situées à proximité, sans compromettre leur sécurité;
  2. Si une personne a été en contact avec le produit, utiliser rapidement les lave-yeux, douche de sécurité ou autres équipements de sécurité adaptés;
  3. Alerter en composant le 777#; 
  4. Isoler la pièce touchée par le déversement en fermant les portes;
  5. Ouvrir les fenêtres, si possible;
  6. S’éloigner de l’endroit et demeurer dans une zone sécuritaire.

L’analyse de la situation relève du coordonnateur des mesures d’urgence, en collaboration avec l’officier responsable du Service de sécurité incendie. Elle consiste essentiellement à mesurer le risque en fonction de critères objectifs tels que :

  • La présence de personnes blessées ou incommodées;
  • L’emplacement exact de l’événement;
  • La présence de personnes affichant des signes d’inconfort (difficultés respiratoires, irritations des muqueuses ou de la peau, vomissements, maux de tête, étourdissements, etc.);
  • L’identification formelle du produit en cause selon le SIMDUT ou les placards régissant le transport des matières dangereuses;
  • Les renseignements disponibles sur le produit en cause (fiches techniques de santé et sécurité au travail);
  • La localisation de la fuite;
  • Le débit d’écoulement (liquide) ou l’émanation (gazeuse) de la fuite;
  • Les risques de réactions chimiques;
  • Les signes d’une explosion.

Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées.

Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors d’une inondation ou un refoulement d’égout majeur afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.

Les plans d’intervention relatifs à l’évacuation et aux pannes électriques devront possiblement être mis en œuvre lors d’une inondation.

 Toute personne qui constate une inondation ou un refoulement d’égout majeur doit immédiatement :

  • Éloigner les personnes situées à proximité du risque;
  • Alerter en composant le 777#;
  • Se tenir éloignée de la zone touchée.

L’application intégrale de ces actions permet d’assurer un minimum de sécurité aux occupants situés à proximité en attendant l’arrivée de l’équipe d’urgence.

Si l’inondation/refoulement affecte leur secteur, les employés doivent :

  • Éloigner toutes les personnes situées à proximité de la fuite;
  • Suivre les consignes des membres de l’équipe d’intervention d’urgence;
  • Nettoyer les lieux après l’événement.

L’évaluation des conséquences d’un tel événement doit cibler les impacts directs et les effets d’entrainement au moment de l’incident. Cette évaluation relève du coordonnateur des mesures d’urgence. Elle consiste essentiellement à mesurer le risque en fonction de critères objectifs tels que :

  • Le secteur touché par l’inondation (centrale thermique, secteur informatique, dépôt, laboratoires, etc.);
  • La présence d’équipements névralgiques;
  • Le risque de réaction avec le système de distribution électrique;
  • L’effet d’entrainement sur d’autres systèmes et sous-systèmes;
  • L’étendue de l’inondation/refoulement;
  • La durée probable de la remise en état des lieux ou des équipements.

Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées.

Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors d’une interruption, pénurie ou contamination d’eau potable afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.

Il est probable qu’un tel événement commande la mise en place de certains éléments prévus au titre du plan d’intervention temps violent/isolement, notamment le rationnement d’eau. La direction de l’établissement pourrait décider de retourner les étudiants à la maison.

L’interruption d’eau peut être le résultat de la rupture d’une conduite maîtresse à l’intérieur de l’établissement. Dans ce cas, le plan d’intervention spécifique à cette situation s’applique en concordance avec le présent plan.

Toute personne qui constate une interruption, pénurie ou contamination d’eau potable doit immédiatement transmettre une alerte en composant le 777#.

Note : 

La pénurie se définit comme une baisse de pression et de volume importante du réseau de distribution de l’établissement ou de la municipalité.

Si l’interruption, la pénurie, ou la contamination d’eau affecte leur secteur, les employés doivent :

  • Suivre les consignes de l’équipe d’urgence;
  • Respecter l’interdiction de consommer l’eau des fontaines et du robinet;
  • S’assurer que, malgré la disette, les mesures d’hygiène de base soient respectées;
  • S’assurer que toute personne respecte le plan de rationnement.

Il est difficile de prévoir une interruption, pénurie, ou contamination d’eau potable, à moins que la municipalité ou le Service des ressources matérielles annonce une intervention aux fins d’entretien du réseau. L’évaluation doit donc cibler les conséquences.

L’évaluation des conséquences d’un tel événement et des effets d’entrainement relève du coordonnateur des mesures d’urgence et, en l’occurrence, le responsable des ressources matérielles.

Elle consiste essentiellement à mesurer le risque en fonction de critères objectifs tels que :

  • La portée de l’incident (Interruption, pénurie, ou contamination);
  • La durée probable de l’absence de service;
  • Les mesures visant l’hygiène personnelle;
  • La quantité d’eau nécessaire pour les employés;
  • La quantité d’eau nécessaire pour le fonctionnement des équipements;
  • La perturbation des différents services ou la suspension potentielle des cours;
  • La quantité d’eau nécessaire pour la cafétéria, s’il y a lieu;
  • Les activités à risque d’incendie;
  • Etc.

Au besoin, divers lieux de distribution d’eau pourraient être mis en place. Exemple :

Bâtiment / étageEmplacementQuantitéFormat
Pour tout le CégepCafétéria3 000500 ml
Résidences

 A-B-C-D-E

Entrée principale

1124 litres
Cuisine 3018 litres

Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors d’une menace à la bombe afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.

Réception d’une menace par téléphone, courriel, texto

Si une personne reçoit une menace à la bombe par téléphone, courriel, texto, elle doit :

  • Demeurer calme;
  • Être polie et courtoise;
  • Éviter d’interrompre l’appelant;
  • Tenter d’obtenir un maximum d’informations;
  • Noter tous les détails (numéro de téléphone de l’appelant selon le système d’identification de l’appelant, sexe, âge, type de voix, accent, etc.);
  • Aviser le 777#;
  • Se garder de discuter de la discussion avec ses collègues pour conserver les informations factuelles;
  • Remplir le formulaire « Appel à la bombe » (en annexe de la présente section) ou se le procurer auprès du coordonnateur des mesures d’urgence;
  • Demeurer à son poste de travail jusqu’à l’arrivée d’un agent du Service de police.

Si possible, interrogez l’appelant :

  • Où avez-vous mis la bombe?
  • Dans combien de temps va-t-elle exploser?
  • Pourquoi avez-vous mis cette bombe (motifs de conflits de travail, de congédiement, personnels)?
  • Quel genre de bombe est-ce?
  • Quel est votre nom?

Une fois la discussion terminée, il est important de noter les détails suivants :

  • Date, heure de l’appel (début et fin);
  • Numéro de téléphone visible selon le système d’identification des appels;
  • Âge approximatif;
  • Sexe;
  • Langue utilisée et accent (anglais, français);
  • Message complet (écrire tous les détails);
  • Intonation de la voix (faible, forte);
  • Débit de la parole (lent, rapide);
  • Type de voix (rauque, nasillarde, etc.) si applicable;
  • Bruits de fond (circulation, machinerie, etc.);
  • État physique et psychologique de l’appelant (ivre, drogué, nerveux, calme, etc.);
  • Durée de l’appel;
  • Familiarité de l’appelant avec les lieux.


Réception d’une lettre porteuse d’un message de menace à la bombe

Si une personne reçoit une menace à la bombe par courrier, elle doit :

  • Aviser immédiatement le préposé à la sécurité en composant le 777#;
  • Éviter de manipuler indûment l’enveloppe ou le colis (conservation de la preuve pour les policiers);
  • Suivre les directives émises.

Lors d’une alerte à la bombe, les employés doivent :

  • Assurer leur santé et sécurité puis aider toute personne dans le besoin;
  • Suivre les directives émises par les membres de l’équipe d’urgence.

L’évaluation des conséquences relève du coordonnateur des mesures d’urgence, en collaboration avec le Service de police. Cette évaluation consiste essentiellement à mesurer le risque en fonction de critères objectifs tels que :

  • Le délai annoncé (raisonnable ou expiré);
  • Le destinataire de la menace (corporatif ou personnel);
  • Le message précis (message textuel, connaissance des lieux);
  • Le motif de la menace (raison réelle ou probable);
  • Le climat organisationnel (mécontentement, conflits syndicaux, période d’examen);
  • La découverte ou non d’un colis suspect.

Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées.

Ce plan d’intervention sommaire est composé de deux parties. La première propose la mise en place de différentes mesures visant à prévenir les événements violents en milieu scolaire et la seconde traite des différentes mesures de réponse d’urgence à mettre en place lorsqu’il se produit un événement violent.

  1. Prévention d’événements violents dans le milieu de l’éducation

La présente section concerne l’application de différentes mesures d’intervention visant à faire face à différentes situations de menace NON ARMÉE.

  

Menace proférée

Dans le cas d’une menace proférée, les questions suivantes doivent faire l’objet d’une attention particulière afin de déterminer précisément la gravité de la situation :

  • À qui s’adresse la menace (est-elle destinée à une ou plusieurs personnes)?
  • Quand cette menace doit-elle être exécutée?
  • Est-ce qu’on connaît l’auteur?
  • De combien de temps dispose-t-on pour réagir à cette menace?
  • Est-ce la première fois qu’une telle menace est proférée?
  • Comment la menace est-elle perçue par les autorités policières?

Une fois la situation évaluée, il faut établir les mesures préventives, dissuasives ou d’atténuation appropriées (voir section mesures de prévention).


Étudiant ou employé victime de menace

Lorsqu’un étudiant ou un employé est victime de menaces, il doit aussitôt en informer l’équipe d’urgence au 777# ou le FARE 455#. L’étudiant/employé sera accompagné et une série de mesures seront appliquées selon les protocoles en place. 

Si des gestes d’intimidation ou de violence sont perpétrés au domicile d’un employé et que ces gestes sont directement liés à son travail en raison de ses fonctions, l’employé concerné doit aviser l’équipe d’urgence au 777# et une série de mesures seront appliquées selon les protocoles en place.

  1. Événement violent

Toute situation de menace ou d’acte de violence NON ARMÉ doit être rapportée sans délai en signalant le 777#.

Lorsqu’un acte de violence ciblé est commis (agression physique contre une seule personne, bagarre, etc.), la priorité d’intervention est axée sur les victimes.

Témoin d’un acte de violence (non armé)

  • Aviser l’équipe d’urgence au 777# ou directement le Service de police en composant le «9-1-1»;
  • Avec l’aide d’autres personnes, interpeller l’agresseur et tenter de le dissuader, si votre santé et sécurité ne sont pas immédiatement menacées;
  • Porter secours à la victime.

Témoin d’un acte de violence armé (autre qu’une arme à feu)

  • Aviser l’équipe d’urgence au 777# ou directement le Service de police en composant le «9-1-1»;
  • Éloigner les autres personnes situées à proximité des lieux;

Porter secours à la victime après vous être assuré que l’agresseur a quitté les lieux.

Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors d’une panne électrique afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.

Les plans d’intervention relatifs au temps violent et à l’isolement devront possiblement être mis en œuvre lors d’une panne électrique.

 

Note:

Lors d’une panne d’électricité, le groupe électrogène démarrera automatiquement et alimentera tous les systèmes d’urgence, tel l’éclairage d’urgence.

 

Toute personne présente lors d’une panne électrique doit immédiatement :

  • S’immobiliser et attendre l’entrée en fonction de l’éclairage d’urgence;
  • Rassurer les personnes présentes (étudiants, visiteurs, etc.);
  • Regagner son lieu de travail en empruntant les escaliers, s’il y a lieu;
  • N’utiliser que des lampes de poche pour s’éclairer (ne pas employer de flamme nue);


L’application intégrale de ces actions assure un minimum de sécurité durant une panne électrique.

L’évaluation des conséquences relève du coordonnateur des mesures d’urgence. Elle consiste essentiellement à mesurer les conséquences en fonction de critères objectifs tels que :

  • La défectuosité de certains équipements névralgiques;
  • La présence de personnes emprisonnées dans les ascenseurs;
  • L’impact sur les systèmes informatiques;
  • L’effet d’entrainement sur d’autres systèmes et sous-systèmes (disjoncteur déclenché, équipements dont les batteries d’appoint ne fonctionnent pas, système téléphonique, etc.);
  • Le niveau d’activité dans le bâtiment;
  • La durée probable de la panne (problème interne ou provenant du réseau de distribution d’Hydro-Québec);
  • Les conditions climatiques (besoins en matière de chauffage, ventilation).

 

Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées.

Tout dépendant du problème survenu et de la durée de panne anticipée, il faudra évaluer la possibilité d’annuler les activités et de retourner le personnel et les étudiants à la maison. Les correctifs et les mesures appropriés seront appliqués selon la situation et le protocole en place.

Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors d’une panne téléphonique/réseau afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.

Il prévoit également des systèmes substitutifs pour gérer une interruption des systèmes de télécommunications internes et externes causée par un épisode de temps violent.

Toute personne qui constate une interruption du système téléphonique/réseau doit immédiatement :

  • Informer de vive voix le coordonnateur des mesures d’urgence ou téléphoner au 418-338-8591 (777#) avec un téléphone cellulaire. L’équipe d’urgence contactera aussitôt le personnel des TI afin que les mesures adéquates soient prises;
  • Localiser l’équipement de communications substitutif (téléphone public, cellulaire, etc.) le plus près de son secteur pour utilisation en cas d’urgence;
  • Informer les employés de son secteur de la panne;
  • Attendre les consignes de l’équipe d’urgence.

L’évaluation des conséquences relève du coordonnateur des mesures d’urgence, en collaboration avec le coordonnateur du Service des technologies de l’information. Elle consiste essentiellement à mesurer les impacts de la panne en fonction de critères objectifs tels que :

  • L’étendue de la panne (totale ou partielle);
  • La durée probable de la panne (problème interne ou provenant du réseau de Telus);
  • L’impact sur le système de rappel au travail;
  • L’impact sur les autres systèmes des bâtiments;
  • La sécurité des occupants.

Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées. Selon les conséquences anticipées ou réelles, il peut s’agir de louer des téléphones cellulaires ou des radios portatives, de créer une équipe de messagers, d’assigner une personne par étage pour assurer les communications, etc.

Téléphone public

En cas de panne complète du réseau de téléphonie du Cégep, un téléphone public est disponible dans l’entrée principale du Cégep (418 335-9929).

Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lorsqu’un épisode de temps violent affecte l’établissement, le privant de ses liens avec son milieu et de ses services essentiels.

Lors d’une situation de temps violent ou d’isolement, les occupants doivent :

  • Assurer leur propre sécurité;
  • Attendre les consignes des membres de l’équipe d’urgence;
  • Aviser le préposé à la sécurité ou le coordonnateur des mesures d’urgence pour toute situation particulière causée par le temps violent.

L’évaluation des conséquences relève du coordonnateur des mesures d’urgence. Elle consiste essentiellement à mesurer les conséquences en fonction de critères objectifs tels que :

  • La durée probable de l’événement;
  • Les conséquences sur les infrastructures;
  • Le moment du jour et de la semaine;
  • La disponibilité des ressources;
  • L’expérience vécue antérieurement avec ce type de phénomène;
  • La capacité de mobilisation et de réponse.

Plusieurs conséquences peuvent découler d’un épisode de temps violent :

  • Panne électrique;
  • Dommage aux réseaux téléphoniques;
  • Arbres brisés;
  • Fuite de gaz naturel ou propane;
  • Incendie;
  • Circulation automobile difficile;
  • Refoulement d’égout;
  • Inondation;
  • Panne interne du système téléphonique;
  • Bris de vitre;
  • Blessure par objets volants au vent;
  • Accident routier dans les stationnements;
  • Blessure par chute (verglas);
  • Dommage à la structure.

Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées. Selon les conséquences anticipées ou réelles, le coordonnateur des mesures d’urgence évalue la pertinence d’ordonner le déclenchement total ou partiel du plan d’urgence et la mobilisation du comité de coordination des mesures d’urgence.

Ces consignes d’intervention indiquent comment intervenir rapidement et de façon sécuritaire en présence d’un tireur actif et lorsque le confinement barricadé est requis.

Dans le cas d’un tireur actif, l’événement se déroule généralement dans un laps de temps de douze (12) à vingt (20) minutes au maximum. Pendant cette période active du tireur, la probabilité d’être atteint d’un projectile est très élevée lorsque l’on se trouve à proximité du tireur.

Lorsqu’en présence d’une personne armée, il importe d’adopter les premières mesures suivantes :

  • Éviter d’être une cible immobile ou de devenir une cible, en vous approchant de la menace;
  • Fuir les lieux si vous le pouvez et à défaut de le pouvoir, se barricader;
  • Alerter l’équipe d’urgence au 777# et ensuite le 911;
  • Ne pas s’adresser à l’agresseur et encore moins tenter de tenir des propos dissuasifs;
  • Adopter une attitude de soumission, baisser les yeux, éviter de le croiser dans sa course;
  • Augmenter la distance entre le tireur et soi, lorsque c’est possible.

Se barricader dans une pièce

Lorsqu’il est possible de se barricader dans une pièce, vous devez :

  • Permettre à d’autres personnes de s’y réfugier avant de fermer la porte;
  • Refermer et verrouiller la porte, si c’est possible;
  • Placer des objets devant la porte (tables, chaises, poubelle, etc.) afin de ralentir l’accès à la pièce au tireur;
  • Fermer les lumières;
  • Couchez-vous sur le sol (si possible le long d’un mur) et abritez-vous avec une table;
  • Garder le silence et ne pas attirer l’attention par le bruit. (Fermer la sonnerie de son téléphone).

 

Une fois barricadé

Lorsque vous êtes barricadé, il faut :

  • Signaler votre présence, soit en composant le « 9-1-1» ou le numéro d’urgence 777#;
  • De façon sécuritaire, inscrire sur une feuille le nombre de personnes, avec le nombre de blessés et l’afficher dans une fenêtre externe;
  • Évaluer la possibilité de quitter l’immeuble de façon sécuritaire (par une fenêtre, escaliers de secours);
  • Ignorer l’alarme incendie à moins qu’il y ait des indices de feu;
  • Attendre que les policiers viennent vous chercher;
  • Si on tente de défoncer la porte, ce ne sont pas les policiers, les policiers ne défoncent pas les portes, ils demandent votre collaboration suivie d’ordres clairs.

Voici un court vidéo, produit par l’Université de Montréal, permettant de bien comprendre les mesures à prendre et sensibiliser les gens à une telle situation. Nous vous invitons à la regarder attentivement pour bien comprendre les consignes précédemment indiquées.



IMPORTANT : Lorsque vous verrez les infos internes de l’UDM, comme leur numéro à rejoindre en cas d’urgence, vous comprendrez qu’au Cégep et au CEC de Lotbinière, on se doit de toujours utiliser le 777# (418 338-8591). De plus, les notifications que vous recevrez, se feront via Omnivox et un logiciel interne. Nous vous invitons à télécharger sur vos appareils mobiles la dernière version d’Omnivox et activer vos notifications.

Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors d’une secousse sismique afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.

Il est réaliste de penser que l’ensemble du bâtiment pourrait être évacué rapidement en cas de tremblement de terre majeur.

L’évaluation des conséquences relève du coordonnateur des mesures d’urgence. Elle consiste essentiellement à mesurer le risque en fonction de critères objectifs tels que :

  • La possibilité d’une deuxième secousse;
  • Les conséquences sur les infrastructures;
  • Le moment du jour et de la semaine;
  • La capacité de mobilisation et de réponse.

Plusieurs conséquences peuvent découler d’une secousse sismique :

  • Bris de vitres;
  • Dommages au réseau téléphonique;
  • Dommages à la structure;
  • Dommages aux équipements;
  • Effondrement de structure;
  • Fuite de gaz naturel ou propane;
  • Incapacité d’obtenir du carburant (diesel, essence);
  • Incendie;
  • Incident environnemental;
  • Inondation;
  • Panne électrique;
  • Personnes emprisonnées sous les décombres;
  • Plusieurs personnes blessées;
  • Refoulement d’égout;
  • Voies de circulation entravées;

Peu importe où vous vous trouvez lorsque les secousses commencent, abritez-vous immédiatement et restez au même endroit jusqu’à ce qu’elles cessent.

Si vous êtes à l’intérieur :

  • Restez-y;
  • Ne vous précipitez pas dehors;
  • Abritez-vous sous une table, un bureau ou tout autre meuble solide et agrippez-vous;
  • Si vous êtes dans un corridor, placez-vous en position accroupie le long d’un mur intérieur;
  • Ne restez pas dans l’embrasure d’une porte puisque celle-ci pourrait se rabattre et vous blesser;
  • Protégez votre tête et votre visage;
  • Éloignez-vous des fenêtres, des cloisons de verre, des miroirs, des bibliothèques, des meubles en hauteur, des appareils d’éclairage;
  • Attendez les consignes de l’équipe d’urgence;
  • Aviser le coordonnateur des mesures d’urgence à l’entrée principale de toute situation particulière (ou via le 777#).

 Si vous êtes à l’extérieur :

  • Restez-y;
  • Essayez de vous diriger vers un endroit sécuritaire, loin des fenêtres, des édifices, des fils électriques ou des poteaux téléphoniques.

Après le tremblement de terre :

  • Portez secours aux autres personnes dans le besoin;
  • En cas de blessure, donnez les premiers soins si vous avez la formation de secouriste, sinon avisez les secours d’urgence;
  • N’utilisez pas le téléphone, à moins de signaler une extrême urgence (pour libérer les lignes qui seront surchargées);
  • Si possible, dirigez-vous vers les points de rassemblement désignés lors d’une évacuation générale;
  • Attendez les instructions émises à votre intention.

Cégep de Thetford

En cas de besoin, un DÉFIBRILLATEUR, un AUTO-INJECTEUR ÉPIPEN, du NALOXONE et un fauteuil roulant sont disponibles au Centre d’activités physiques et sportives (CAPS), local P­102.

Un deuxième DÉFIBRILLATEUR est disponible au bâtiment de services du terrain multisports, dans le tunnel.

Un deuxième ÉPIPEN et du NALOXONE sont disponibles au bureau de la cafétéria 3106.

Les Galeries Appalaches sont disponibles comme hébergement temporaire en cas d’évacuation du bâtiment principal. Coordonnez la traverse du boulevard avec les policiers.

Centre d'études collégiales de Lotbinière

Un DÉFIBRILLATEUR et un AUTO-INJECTEUR ÉPIPEN sont disponibles devant le local 222.

Exercice d'alerte

Ceci est un test du système de communication d’urgence.
Aucune action n’est requise de votre part.