Important : Si vous travaillez ou étudiez au Cégep de Thetford ou au Centre d’études collégiales de Lotbinière, veuillez prendre connaissance et relire le contenu de cette section, minimalement à chaque début de session.
Si vous êtes témoin d’une situation d’urgence et que vous avez besoin des services d’urgence externes, composez immédiatement le 911.
Afin de rejoindre l’équipe du Cégep pour assistance complémentaire ou signaler un événement, composez 418 338-8591, poste 777#. Si vous téléphonez d’un poste fixe à partir du Cégep, faites le 777#. Ce numéro est valide en tout temps pour le site du Cégep (bâtiments, résidences et terrains) et pour le Centre d’études collégiales de Lotbinière.
Vous serez mis en communication avec le bon intervenant et le délai prendra environ 30 secondes. Ne raccrochez pas.
Pendant ce temps, rassemblez les informations importantes afin de les donner à la personne ressource :
Pour toute situation d’urgence, le coordonnateur des mesures d’urgence et son équipe assureront la prise en charge des étapes nécessaires puis feront le lien avec les services et ressources nécessaires, le cas échéant.
Le coordonnateur des mesures d’urgence est M. Yan Bergeron, coordonnateur des ressources matérielles et le remplaçant M. Guy Provencher, Contremaître d’entretien spécialisé.
Voici maintenant les principales étapes à suivre (par tous les occupants, étudiants, employés, etc.) si vous rencontrez une de ces situations. Ces étapes devraient être lues et révisées à chaque début de session, afin que chacun les maîtrise en cas de besoin urgent.
Ce plan d’intervention sommaire doit être mis en œuvre lorsque survient :
Note :
Cette directive ne vise pas à remplacer l’évacuation; elle doit plutôt être perçue comme une alternative. Lorsqu’un contaminant atmosphérique est présent dans l’environnement, il est plus sécuritaire de demeurer à l’intérieur de l’établissement, que de s’exposer directement au contaminant à l’extérieur.
Toute personne qui remarque une source de contamination dans l’environnement, qui atteint, ou qui est susceptible d’atteindre l’établissement, doit immédiatement composer le 777# et transmettre les informations suivantes :
Lors d’une mise en confinement, tous les occupants doivent cesser leurs activités. En plus, ils doivent :
Ce plan d’intervention sommaire doit être mis en œuvre lorsque survient une fuite de gaz afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.
Toute personne qui perçoit une odeur ou qui détecte une fuite de gaz naturel/propane/autre doit immédiatement :
Fuite de gaz à l’intérieur
Lorsqu’une fuite de gaz naturel/propane/autre se produit à l’intérieur, les occupants doivent immédiatement procéder à une évacuation selon les modalités du plan d’évacuation. À cet effet, suivre les consignes dictées sur place par l’équipe d’urgence, et ce, tout en respectant l’ordre suivant :
Fuite de gaz à l’extérieur
Si la fuite de gaz se produit à l’extérieur :
Les principes inhérents à l’incendie guideront les paramètres de l’intervention. L’évaluation de la menace relève du coordonnateur des mesures d’urgence, en collaboration avec l’officier responsable du Service de sécurité incendie. Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées pour limiter les effets de la fuite. Selon les conséquences anticipées ou réelles, il pourrait s’agir de fermer la soupape maîtresse du réseau de distribution, d’envisager une fermeture sectorielle du réseau ou d’interrompre l’alimentation électrique d’un secteur pour prévenir une explosion.
Notes importantes :
Ne manipulez aucun objet susceptible de produire une étincelle ou une flamme (briquet, téléphone situé près de la fuite, interrupteur ou appareil électrique, lampe de poche, etc.).
N’actionnez aucune station manuelle reliée au système d’alarme incendie, car l’étincelle produite par l’entrée en fonction de celle-ci peut être suffisante pour enflammer le gaz.
Ce plan d’intervention sommaire doit être mis en œuvre lors d’un incendie afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.
Par ailleurs, il importe de mentionner que ce plan ne vise aucunement à remplacer les plans d’intervention normalisés du Service de sécurité incendie. Il doit plutôt être perçu comme complémentaire à ces derniers.
Lorsqu’une personne constate un début d’incendie ou remarque une fumée apparente, elle doit respecter les étapes suivantes afin de minimiser les impacts sur la personne et d’atténuer les effets de la fumée et des flammes :
En attendant du renfort, l’application intégrale de ces actions assure un minimum de sécurité aux occupants situés à proximité de l’incendie.
* L’extincteur portatif est exclusivement utilisé pour éteindre un début d’incendie, c’est-à-dire un incendie dont la hauteur des flammes ne dépasse pas un (1) mètre.
Les enseignants doivent :
Tous les autres employés (non enseignants) et les étudiants doivent :
L’évaluation des conséquences d’un foyer d’incendie relève du coordonnateur des mesures d’urgence, en collaboration avec l’officier responsable du Service de sécurité incendie. Cela consiste essentiellement à mesurer le risque en fonction de critères objectifs tels que :
Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées pour limiter les impacts de l’incendie.
Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors de la perte de confinement d’une matière dangereuse afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.
Ce plan vise directement à préserver la santé et la sécurité des intervenants, tout en assurant la mise en place rapide de mesures efficaces pour contrôler la fuite ou l’écoulement d’une matière considérée comme dangereuse, et ce, afin d’éviter que la situation dégénère.
Par ailleurs, il importe de mentionner que ce plan ne vise aucunement à remplacer le plan d’intervention normalisé du Service de sécurité incendie; il doit plutôt être perçu comme complémentaire à ce dernier.
Les plans d’intervention relatifs à l’incendie et l’évacuation devront possiblement être mis en œuvre lors d’une perte de confinement.
Toute personne qui constate un déversement de produit dangereux doit immédiatement :
L’analyse de la situation relève du coordonnateur des mesures d’urgence, en collaboration avec l’officier responsable du Service de sécurité incendie. Elle consiste essentiellement à mesurer le risque en fonction de critères objectifs tels que :
Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées.
Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors d’une inondation ou un refoulement d’égout majeur afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.
Les plans d’intervention relatifs à l’évacuation et aux pannes électriques devront possiblement être mis en œuvre lors d’une inondation.
Toute personne qui constate une inondation ou un refoulement d’égout majeur doit immédiatement :
L’application intégrale de ces actions permet d’assurer un minimum de sécurité aux occupants situés à proximité en attendant l’arrivée de l’équipe d’urgence.
Si l’inondation/refoulement affecte leur secteur, les employés doivent :
L’évaluation des conséquences d’un tel événement doit cibler les impacts directs et les effets d’entrainement au moment de l’incident. Cette évaluation relève du coordonnateur des mesures d’urgence. Elle consiste essentiellement à mesurer le risque en fonction de critères objectifs tels que :
Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées.
Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors d’une interruption, pénurie ou contamination d’eau potable afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.
Il est probable qu’un tel événement commande la mise en place de certains éléments prévus au titre du plan d’intervention temps violent/isolement, notamment le rationnement d’eau. La direction de l’établissement pourrait décider de retourner les étudiants à la maison.
L’interruption d’eau peut être le résultat de la rupture d’une conduite maîtresse à l’intérieur de l’établissement. Dans ce cas, le plan d’intervention spécifique à cette situation s’applique en concordance avec le présent plan.
Toute personne qui constate une interruption, pénurie ou contamination d’eau potable doit immédiatement transmettre une alerte en composant le 777#.
Note :
La pénurie se définit comme une baisse de pression et de volume importante du réseau de distribution de l’établissement ou de la municipalité.
Si l’interruption, la pénurie, ou la contamination d’eau affecte leur secteur, les employés doivent :
Il est difficile de prévoir une interruption, pénurie, ou contamination d’eau potable, à moins que la municipalité ou le Service des ressources matérielles annonce une intervention aux fins d’entretien du réseau. L’évaluation doit donc cibler les conséquences.
L’évaluation des conséquences d’un tel événement et des effets d’entrainement relève du coordonnateur des mesures d’urgence et, en l’occurrence, le responsable des ressources matérielles.
Elle consiste essentiellement à mesurer le risque en fonction de critères objectifs tels que :
Au besoin, divers lieux de distribution d’eau pourraient être mis en place. Exemple :
Bâtiment / étage | Emplacement | Quantité | Format |
Pour tout le Cégep | Cafétéria | 3 000 | 500 ml |
Résidences | A-B-C-D-E Entrée principale | 112 | 4 litres |
Cuisine | 30 | 18 litres |
Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors d’une menace à la bombe afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.
Réception d’une menace par téléphone, courriel, texto
Si une personne reçoit une menace à la bombe par téléphone, courriel, texto, elle doit :
Si possible, interrogez l’appelant :
Une fois la discussion terminée, il est important de noter les détails suivants :
Réception d’une lettre porteuse d’un message de menace à la bombe
Si une personne reçoit une menace à la bombe par courrier, elle doit :
Lors d’une alerte à la bombe, les employés doivent :
L’évaluation des conséquences relève du coordonnateur des mesures d’urgence, en collaboration avec le Service de police. Cette évaluation consiste essentiellement à mesurer le risque en fonction de critères objectifs tels que :
Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées.
Ce plan d’intervention sommaire est composé de deux parties. La première propose la mise en place de différentes mesures visant à prévenir les événements violents en milieu scolaire et la seconde traite des différentes mesures de réponse d’urgence à mettre en place lorsqu’il se produit un événement violent.
La présente section concerne l’application de différentes mesures d’intervention visant à faire face à différentes situations de menace NON ARMÉE.
Menace proférée
Dans le cas d’une menace proférée, les questions suivantes doivent faire l’objet d’une attention particulière afin de déterminer précisément la gravité de la situation :
Une fois la situation évaluée, il faut établir les mesures préventives, dissuasives ou d’atténuation appropriées (voir section mesures de prévention).
Étudiant ou employé victime de menace
Lorsqu’un étudiant ou un employé est victime de menaces, il doit aussitôt en informer l’équipe d’urgence au 777# ou le FARE 455#. L’étudiant/employé sera accompagné et une série de mesures seront appliquées selon les protocoles en place.
Si des gestes d’intimidation ou de violence sont perpétrés au domicile d’un employé et que ces gestes sont directement liés à son travail en raison de ses fonctions, l’employé concerné doit aviser l’équipe d’urgence au 777# et une série de mesures seront appliquées selon les protocoles en place.
Toute situation de menace ou d’acte de violence NON ARMÉ doit être rapportée sans délai en signalant le 777#.
Lorsqu’un acte de violence ciblé est commis (agression physique contre une seule personne, bagarre, etc.), la priorité d’intervention est axée sur les victimes.
Témoin d’un acte de violence (non armé)
Témoin d’un acte de violence armé (autre qu’une arme à feu)
Porter secours à la victime après vous être assuré que l’agresseur a quitté les lieux.
Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors d’une panne électrique afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.
Les plans d’intervention relatifs au temps violent et à l’isolement devront possiblement être mis en œuvre lors d’une panne électrique.
Note:
Lors d’une panne d’électricité, le groupe électrogène démarrera automatiquement et alimentera tous les systèmes d’urgence, tel l’éclairage d’urgence.
Toute personne présente lors d’une panne électrique doit immédiatement :
L’application intégrale de ces actions assure un minimum de sécurité durant une panne électrique.
L’évaluation des conséquences relève du coordonnateur des mesures d’urgence. Elle consiste essentiellement à mesurer les conséquences en fonction de critères objectifs tels que :
Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées.
Tout dépendant du problème survenu et de la durée de panne anticipée, il faudra évaluer la possibilité d’annuler les activités et de retourner le personnel et les étudiants à la maison. Les correctifs et les mesures appropriés seront appliqués selon la situation et le protocole en place.
Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors d’une panne téléphonique/réseau afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.
Il prévoit également des systèmes substitutifs pour gérer une interruption des systèmes de télécommunications internes et externes causée par un épisode de temps violent.
Toute personne qui constate une interruption du système téléphonique/réseau doit immédiatement :
L’évaluation des conséquences relève du coordonnateur des mesures d’urgence, en collaboration avec le coordonnateur du Service des technologies de l’information. Elle consiste essentiellement à mesurer les impacts de la panne en fonction de critères objectifs tels que :
Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées. Selon les conséquences anticipées ou réelles, il peut s’agir de louer des téléphones cellulaires ou des radios portatives, de créer une équipe de messagers, d’assigner une personne par étage pour assurer les communications, etc.
Téléphone public
En cas de panne complète du réseau de téléphonie du Cégep, un téléphone public est disponible dans l’entrée principale du Cégep (418 335-9929).
Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lorsqu’un épisode de temps violent affecte l’établissement, le privant de ses liens avec son milieu et de ses services essentiels.
Lors d’une situation de temps violent ou d’isolement, les occupants doivent :
L’évaluation des conséquences relève du coordonnateur des mesures d’urgence. Elle consiste essentiellement à mesurer les conséquences en fonction de critères objectifs tels que :
Plusieurs conséquences peuvent découler d’un épisode de temps violent :
Au terme de l’analyse, une décision est prise à l’endroit des mesures de sécurité qui devront être déployées. Selon les conséquences anticipées ou réelles, le coordonnateur des mesures d’urgence évalue la pertinence d’ordonner le déclenchement total ou partiel du plan d’urgence et la mobilisation du comité de coordination des mesures d’urgence.
Ces consignes d’intervention indiquent comment intervenir rapidement et de façon sécuritaire en présence d’un tireur actif et lorsque le confinement barricadé est requis.
Dans le cas d’un tireur actif, l’événement se déroule généralement dans un laps de temps de douze (12) à vingt (20) minutes au maximum. Pendant cette période active du tireur, la probabilité d’être atteint d’un projectile est très élevée lorsque l’on se trouve à proximité du tireur.
Lorsqu’en présence d’une personne armée, il importe d’adopter les premières mesures suivantes :
Se barricader dans une pièce
Lorsqu’il est possible de se barricader dans une pièce, vous devez :
Une fois barricadé
Lorsque vous êtes barricadé, il faut :
Voici un court vidéo, produit par l’Université de Montréal, permettant de bien comprendre les mesures à prendre et sensibiliser les gens à une telle situation. Nous vous invitons à la regarder attentivement pour bien comprendre les consignes précédemment indiquées.
IMPORTANT : Lorsque vous verrez les infos internes de l’UDM, comme leur numéro à rejoindre en cas d’urgence, vous comprendrez qu’au Cégep et au CEC de Lotbinière, on se doit de toujours utiliser le 777# (418 338-8591). De plus, les notifications que vous recevrez, se feront via Omnivox et un logiciel interne. Nous vous invitons à télécharger sur vos appareils mobiles la dernière version d’Omnivox et activer vos notifications.
Ce plan d’intervention sommaire décrit les actions qui doivent être entreprises lors d’une secousse sismique afin de limiter les impacts sur le fonctionnement de l’établissement et la sécurité des occupants.
Il est réaliste de penser que l’ensemble du bâtiment pourrait être évacué rapidement en cas de tremblement de terre majeur.
L’évaluation des conséquences relève du coordonnateur des mesures d’urgence. Elle consiste essentiellement à mesurer le risque en fonction de critères objectifs tels que :
Plusieurs conséquences peuvent découler d’une secousse sismique :
Peu importe où vous vous trouvez lorsque les secousses commencent, abritez-vous immédiatement et restez au même endroit jusqu’à ce qu’elles cessent.
Si vous êtes à l’intérieur :
Si vous êtes à l’extérieur :
Après le tremblement de terre :
En cas de besoin, un DÉFIBRILLATEUR, un AUTO-INJECTEUR ÉPIPEN, du NALOXONE et un fauteuil roulant sont disponibles au Centre d’activités physiques et sportives (CAPS), local P102.
Un deuxième DÉFIBRILLATEUR est disponible au bâtiment de services du terrain multisports, dans le tunnel.
Un deuxième ÉPIPEN et du NALOXONE sont disponibles au bureau de la cafétéria 3106.
Les Galeries Appalaches sont disponibles comme hébergement temporaire en cas d’évacuation du bâtiment principal. Coordonnez la traverse du boulevard avec les policiers.
Un DÉFIBRILLATEUR et un AUTO-INJECTEUR ÉPIPEN sont disponibles devant le local 222.
Ceci est un test du système de communication d’urgence.
Aucune action n’est requise de votre part.